• big pleasure


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  • a

    Toujours un plaisir absolu de l'admirer

    de la croiser aussi

    en passant

    sur les routes de mon enfance.

    Ensemble


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  • Le plaisir. Le plaisir de penser. André Comte-Sponville  dit bien que penser par soi-même c'est philosopher. Mais nul n'y parvient valablement qu'en s'appuyant d'abord sur la pensée des autres.....

    C'est alors un plaisir de penser en sachant que nous sommes une lignée d'humanité, d'idées. Nous sommes une part de l'existence, unique et qui doués de vie et de raison formons le tout. Quel plaisir de faire ce travail d'être pour penser mieux, vivre mieux.

    Quel plaisir de savoir que Bernard maîtrise l'art des conducteurs, l'art de faire passer l'information et de construire les architectures cuivrées ou de fibres !

    Quel plaisir de penser soi, les autres !

    C'est si bon de connaître les avis personnels sur les grandes et petites questions. Quel plaisir de voir les amis penser leur vie, la vie. Voir les autres et soi-même avancer sur le même chemin et sur les sentiers personnels. 

    Avec comme but tranquille, le bonheur, comme boussole la vérité et la philosophie comme chemin, nous pouvons voyager les amis et prendre plaisir d'être à la vie.

     

    ( peintures de Yo)

    Modèles vivants

     

    Le plaisir


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  • sujet à l'étude. 5 points comme seule piste. Un témoin incapable de témoigner, la vie l'ayant  planté sur un banc aussi fatigué que lui. La scène de crime majesté dans le lit d'une rivière éphémère. Le mobile qui oscille entre la prise de liberté et la gagne. 13 coups de feux sans un tir. Aucun corps de retrouvé, juste le bruit d'une sirène en fin de soirée, entendue d'une vitre d'une voiture noire, lancée à toute baltringue aux portes de la nuit. Sur les 5 points, 3 points groupés couleur gris inox contre une branche de tilleul, tombée à terre pendant la tempête. Les deux autres points étaient  à peine remarqués par le jeune commissaire, dernièrement promu sur Versailles. Pablo le caverneux arpentait l'avenue de Paris et se demandait bien si cette première affaire valait tripette ou triplette. Les habitués ne jactaient pas trop de leurs fréquentations ni des plombés de la veille. Pour sûr à Pantruche ou sur la canebière, l'affaire aurait fait la manchette des journaux. Ici dans la ville du roi Soleil, les baveux s'intéressaient plus à l'ombre de leur silhouette qu'à une razzia au bord du riff.

    Putain , mais quelle idée d'enquêter sur les causes de la mort d'un boxeur arboricol fou qu'on aurait sur appel anonyme, vu accroché à un arbre, une boule de pétanque enfoncée dans le crâne. C'est quand même pas la coutume au pays du bermuda en velours bleu, de se faire dégommer la quille sans publicité, ni prévenance.

    C'était bien sa veine de se coltiner l'avenue sans pébroque. Ca oursait dur et il était bon à se changer entièrement, la pluie dégoulinait de la tête aux pieds et du nez au menton. Cette histoire de boules lui rappelait son vieux qui à l'approche de la retraite, allait pointer avec un gars du réseau et avec qui il tambouillait du côté de clamart...

    Se carer avec une boule dans le crâne, faut le faire. La thèse du suicide, fallait pas compter la dessus pour honorer la mémoire d'un homme dénoncé mortus et à peine visible. Admettons se dit le commissaire, que ce soit advenu, on tire pas les boxeurs avec des pétanques, ou alors, il faut avoir sacrément la rage et ne plus avoir envie  de jouer avec les obuts.

    Ou alors fallait qu'il énerve "manière" nervous breakdown pour se faire fourrayer

    polar

    ayer le caisson avec de l'acier à la place du bulbe.

    Non ça ne tenait pas, le corbeau avait peut être pris sa dernière rasade avant de  raconter au renard et au jeune poulaga...


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