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    Conversations

     

     

     

    « Il n’existe dans toute l’histoire humaine, aucune société, si démunie sur le plan matériel qu’elle puisse être, qui se soit passé de l’art. » . Il y a des idées et des dessins à mettre en partage.

     

     

     

     l’homme se conçoit en partie par ‘interdit de sa part d’animalité qui le nie.

     

    En ces temps encore de barbarie, de sauvagerie et d’incompréhension ; il y a des sciences et des principes et l’essentiel à partager.

     

     

     

    Ici déjà, un vol de la fauvette à tête noire, un regard vers le rouge-queue à front blanc, une lecture des textes de Théodore Monod, de Giono, de Genevoix, d’Edgard Morin,

     

     

     

    Un pas encore pour nous aider à faire équilibre d’existence.

     

    conversations

     

    Un Mélange de  toutes les terres pour faire le jardin universel.

     

     

     

    Suspendre le temps à votre sourire…

     

    (huile : Rinat ANIMAEV)

     


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    carrefours 

    Carrefours

     

    Au carrefour de la vie, de la mort, les humains se croisent.

     

    La Terre, tout à notre destin, attend les belles et sages décisions.

     

    Alors j’espère que les moratoires, les inflexions, la parole donnée,

     

    Les universelles dépendances, les échanges, les pardons, la vie à venir

     

    Tout ce qui rapproche les êtres, l’amour consolideront la fraternité

     

    la paix et une sage et tolérante évolution.

     

     


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    On sait de nos possibilités encore  si peu de choses

    et pourtant les réflexions enlacent le monde. Attali parle du sanctuaire de l’humain qu’il ne faut pas toucher pendant que le numérique s’est barré avec la clef.

     

     

     

    A la maison, j’ai passé doucement la semaine et fait couler l’eau à ses sources……

     

     

     

    On sait de l’amour , toutes les bibliothèques d avenir et pourtant les armes crachent sur les hommes qui courent . Les meilleurs d’entre nous ne semblent pas avoir  les bons mots pour arrêter le feu. J’ai bien l’impression que la conscience est bloquée derrière l’intérêt.

     

     

     

    Au jardin, les nuages étiraient mes pensées. Je regardais l’ombre des arbres recueillir les feuilles rouges, ocres, brunes, oranges et jaunes sans faire barrage d’aucune sorte.

     

     

     

    On sait que le travail sur le long terme porte sens d’existence et pourtant les projets de civilisation et d’humanité piétinent à la frontière de nos habitudes, de nos Etats, de nos banques et même s’enragent au-dessus des caches de nos rêves enfermés.

     

     

     

    Au ciel, j’ai préféré lever les yeux, à terre j’ai mis les mains. Je voulais écrire et j’ai enfouis les mots, au meilleur de l’oubli.

     

     

     

    Solitaire, sans téléphone, tout au roux, à l’ambre, aux dernières roses, aux derniers papillons, le temps à mes côtés, sans jugement – la vie partenaire, complice en libre entendement… en attendant….

     

     

     

    On sait que les totalitarismes qu’ils soient laïques, religieux, économiques ou mêlés ont causé et causent de grands malheurs et que nos expériences intérieures ne peuvent pas tout contrer.

     

     

     

    Alors on se demande comment faire pour se dépasser individuellement et collectivement avec devant nous, si peu de temps, si peu de poésie mise en avant…nous qui nous aimons tant…depuis si longtemps…

     

     

     

    Au présent, j’ai confié mes émois ….

     

     

     

    et à Fernand, j’ai proposé qu’il fasse un voyage, sans qu’il se demande pourquoi c’est si bien d’effacer le néant…

     

     

     

    On sait qu’avec vous, tout à l’origine et à la fin, nous irons, vaille que vaille tracer notre chemin…

     

     

     

    Trois Zinnias à la main, bien à vous.

     


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  • g

    le corps encore dans la lagune

    nous appartenons encore

    à ce voyage sous la lune

    En temps de nuit

    au port

    je suis.


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  • Comme le monde politique féroce et sans pitié, le monde qui tourne sur lui-même l'est tout autant. 

    La vie et une au dessus de tout. Pour rester en place, elle joue des coudes,  connaît les tempêtes, des fureurs, des soubresauts, des fureurs meurtrières où l'homme n'a qu'à bien se tenir au bastingage. Tragédies, joies et bonheurs forment des larmes, des rires et les hommes incomplets et magistralement mortels.

    Me moquer de moi-même et d'être cru ou cruel m'épargne un peu de  la cruauté des autres. Se piquer de ses faiblesses et de ses manques pour rester sur la place aide à oublier les mares de sang et les mers pleines de morts.

    Nous sommes en 2016. La connerie fait rage et les modèles de cruautés télévisuelles, radiophoniques, numériques remplacent petit à petit les modes de sagesse, de respect, de bonté et de savoir vivre ensemble. Qu'importe le mot, le bon sens, la terre, pourvu que le moment efface tous les autres.

    Pas d'antitout, pas de jobalacon, mais de grâce refleurissons notre vocabulaire, épluchons nos abécédaires, sortons vos violons, déclarons nos meilleurs singuliers, des meilleurs crus, parlons gueules bien ouvertes, idées bien plantées et résistons aux mauvais vents dans les couloirs dessinés.

    Si l'idée comme l'herbe est mauvaise, arrachons là. Si les valeurs d'humanité sont absentes, replantons les, si les tonnerres d'applaudissements couvrent les cris des oubliés, miséreux, pausés, incompris, baissons le son et au besoin mordons au cru des chairs trop nourris.

    Ensemble

    chairs et mots crus

     


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