• extraits de livres

     

     

    Quelques extraits de livres, pensée personnelle

     

    Pour Cécile, Antonin, Joséphine, Anne, Victor

     

    Et ceux qu’ils aiment.

    extraits de livres

     

     

     

    N’aie pas honte d’être homme, sois - en fier ! Car en toi une voûte s’ouvre sur une voûte, jusqu’à l’infini. Jamais tu ne seras parfait, et c’est très bien ainsi ! Thomas Transtromer «  arcs romans »

     

     

     

    Que les croisements sont beaux. Les croisements de chemin, les croisements d’idées, les croisements d’hommes et de femmes. Tu croises d’innombrables foules, d’innombrables personnes. Tu en remarques quelques uns. Certains le temps d’un regard, d’un sourire, des deux ; Tu retiens leurs visages, leurs noms, leurs trajectoires parfois. Tu en oublies, c’est normal, c’est dans l’ordre des choses. Pour d’autres, tu prends contact, tu noues des relations, tu consolides des liens et tu franchis avec eux des montagnes.

     

    C’est vrai que pour la plupart, ce sont tes voisins de Terre, tes contemporains. Ils vivent en même temps que toi. Par contre tous forment l’ensemble, l’essentiel, notre condition.

     

    Vous êtes Anne et Victor de très belles existences, belles personnes avec qui marcher prend tout son sens de vie.

     

     

     

    Un homme libre ne pense à aucune chose moins qu’à la mort, et sa sagesse est une méditation non de la mort mais de la vie – Spinoza.

     

     

     

    La culture n’est ni un exercice d’archives, ni une affectation de sérieux, ni une imitation à suivre des sentiers fléchés d’avance, avec obligation de rire là et d’admirer ici. C’est d’abord un plaisir. A chacun de le prendre où il veut. Jean d’Ormesson «  saveurs du temps »

     

     

     

    C’est là l’utilité de l’alpinisme en particulier qui apporte en outre des qualités morales et de recherche, des habitudes de vaincre qui peuvent aider à contraindre l’inconnue à reculer. Il contribue aussi directement à la connaissance par les terrains nouveaux d’exploration qu’il suppose. Allain Pierre Alpinisme et compétition chez Arthaud. – J’ai pris cette phrase p30 en recherchant le Mont HEIGER dans les livres d’Anne et de Victor à Le Monêtier les Bains.

     

     

     

    Si par une soirée tranquille, à ma fenêtre, je pense à de vieux amis tout en contemplant la lune, et si j’entends les cris du singe, je mouille ma manche de mes larmes.  La mémoire des sentiers – Michel BUTOR entretiens avec Fabrice Lardreau.

     


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