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La marche - Rimbaud
La marche
Dans Enfance, Rimbaud écrit : « Je suis piéton de la grande route qui passe par les bois nains ; la rumeur des écluses couvre mes pas. Je vois longtemps la mélancolique lessive d'or du couchant. »
Verlaine l'appelle l'homme aux semelles de vent. Mallarmé dit de lui que c'est un passant considérable.
Puissions tous marcher vers notre liberté intérieure et ouvrir les chemins des autres qui en manquent cruellement..
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Commentaires
1JCSamedi 19 Janvier 2019 à 22:22Je me suis toujours demandé pourquoi je voyais si bien les chemins des autres qui se gardent bien de les emprunterRépondre
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