Pourquoi je confonds toujours le sorbier avec le sureau ?

Pourquoi j'écris  ?

Pourquoi la retraite maintenant ?

Pourquoi la poésie  et les étoiles sauveront le monde ?

Pourquoi évoluer prends du temps ?

Pourquoi la rue Lamartine mérite une pause ?

Pourquoi se découvrir quand il fait si bon se cacher ?

Pourquoi toutes ces questions ?

Pourquoi douter est mon refuge ?

Pourquoi ne pas me lancer encore dans le tracé de l'itinéraire ?

Pourquoi la vie d'un simple  est la poésie d'un rêve terrien ?

Pourquoi les rideaux dansent et que ça me plaît ?

Pourquoi je dis " pas bougé" quand l'entretien prend de l'importance ?

Pourquoi je dois approfondir mes connaissances ?

Pourquoi cette partie de pétanques avec J Michel, Olivier et Christophe mérite le détour ?

Pourquoi et comment penser l'humain ?

Pourquoi j'aime la solitude et la présence des livres à doux effleurement ?

Pourquoi ne pas se faire des tomates farcies ce midi ?

Pourquoi faire écrire " à livre ouvert" aux personnes de rencontre ?

Pourquoi n'ai je pas encore écouté le dernier Stones ?

Pourquoi non plus, n'ai je pas recréé la rubrique sur les arbres ?

Pourquoi sans doute vais je créer l'association " l'amicale des êtres" ?

Pourquoi ce vol de papillons ?

Pourquoi cette rubrique questions recouvrira à la fois des questions personnelles ou générales ?

Pourquoi le transhumanisme me fout les chocottes, me sachant  à deux pas du néant ?

Pourquoi j'aime tant les tilleuls ?

Pourquoi l'If est considéré comme un symbole d'immortalité ?

Pourquoi ne pas avoir non plus recréé la rubrique sur la vigne ?

Pourquoi ai-je acheté le livre de Deleuze " Différence et répétition" ?

Pourquoi n'écrirai je pas, à ma façon, le sentiment du promeneur au creux même du paysage ?

Pourquoi ai-je offert ADA à trois de mes collègues ?

Pourquoi la lecture de Maurice Genevoix me ramène en enfance dans le Maine ?

Pourquoi je retiens "Qu'ai-je donc fait" de Jean d'Ormesson dans les livres premiers ?

Pourquoi n'y a t-il pas d'être sans poésie ?

Pourquoi ai-je choisi le nom de l'amicale des êtres ?

Pourquoi n'irai-je pas me faire un petit café ?

Au bout d'une route : un turc fragile comme la montagne grignotée par les verbes mauvais

Au bout de la fuite : un coeur d'argile qui revient à la source

Au bout du néant, un néant farceur

Au bout de ta lecture, un point intensément libre...

Je vais reprendre l'idée du livre d'or, ouvert pour le départ à la retraite. Oui ouvrir un livre qui sera à la disposition des personnes rencontrées pendant les marches et lors de rencontres de vie. Ensemble

                                                                                       Le noir grande cathédrale

les mers qui s'abîment sur les âmes déchictées

Les hauts de cœur du jeune amiral

et au sortir de la nuit emmurée

les mots du jour dansent sur la plage dorée