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    carrefours 

    Carrefours

     

    Au carrefour de la vie, de la mort, les humains se croisent.

     

    La Terre, tout à notre destin, attend les belles et sages décisions.

     

    Alors j’espère que les moratoires, les inflexions, la parole donnée,

     

    Les universelles dépendances, les échanges, les pardons, la vie à venir

     

    Tout ce qui rapproche les êtres, l’amour consolideront la fraternité

     

    la paix et une sage et tolérante évolution.

     

     


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    On sait de nos possibilités encore  si peu de choses

    et pourtant les réflexions enlacent le monde. Attali parle du sanctuaire de l’humain qu’il ne faut pas toucher pendant que le numérique s’est barré avec la clef.

     

     

     

    A la maison, j’ai passé doucement la semaine et fait couler l’eau à ses sources……

     

     

     

    On sait de l’amour , toutes les bibliothèques d avenir et pourtant les armes crachent sur les hommes qui courent . Les meilleurs d’entre nous ne semblent pas avoir  les bons mots pour arrêter le feu. J’ai bien l’impression que la conscience est bloquée derrière l’intérêt.

     

     

     

    Au jardin, les nuages étiraient mes pensées. Je regardais l’ombre des arbres recueillir les feuilles rouges, ocres, brunes, oranges et jaunes sans faire barrage d’aucune sorte.

     

     

     

    On sait que le travail sur le long terme porte sens d’existence et pourtant les projets de civilisation et d’humanité piétinent à la frontière de nos habitudes, de nos Etats, de nos banques et même s’enragent au-dessus des caches de nos rêves enfermés.

     

     

     

    Au ciel, j’ai préféré lever les yeux, à terre j’ai mis les mains. Je voulais écrire et j’ai enfouis les mots, au meilleur de l’oubli.

     

     

     

    Solitaire, sans téléphone, tout au roux, à l’ambre, aux dernières roses, aux derniers papillons, le temps à mes côtés, sans jugement – la vie partenaire, complice en libre entendement… en attendant….

     

     

     

    On sait que les totalitarismes qu’ils soient laïques, religieux, économiques ou mêlés ont causé et causent de grands malheurs et que nos expériences intérieures ne peuvent pas tout contrer.

     

     

     

    Alors on se demande comment faire pour se dépasser individuellement et collectivement avec devant nous, si peu de temps, si peu de poésie mise en avant…nous qui nous aimons tant…depuis si longtemps…

     

     

     

    Au présent, j’ai confié mes émois ….

     

     

     

    et à Fernand, j’ai proposé qu’il fasse un voyage, sans qu’il se demande pourquoi c’est si bien d’effacer le néant…

     

     

     

    On sait qu’avec vous, tout à l’origine et à la fin, nous irons, vaille que vaille tracer notre chemin…

     

     

     

    Trois Zinnias à la main, bien à vous.

     


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    La sagesse est une vigne aux pampres charmants.

    Avec mes quatre pieds plantés, l’automne dernier, j’espère dans mon petit carré, faire que son symbole s’étende à chaque âme humaine.

     

    Le pied devant la maison courtise le grand rosier rouge. Il ne fera sans doute pas de vin, et se dégustera directement sous ses feuilles. Loin des 300 litres de la vigne de Montmartre, la liqueur mâle rendra l’esprit pourpre et généreux. Le second près de la terrasse fera voyage en Italie et glissera ses rameaux dans les plis souples de vie. Le troisième dans l’allée pensera au loir du soir au matin, à ses coteaux fleuris où reposent mes proches. Le quatrième adossé au mur, près de l’abri à vélos fera mémoire de l’odeur, de la lumière, des bruits du travail des hommes, de la chaleur de la terre d’ici et des ailleurs, du frisson des feuilles, des découvertes nues dans les rangées de mon enfance.

     


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    Les racines du silence.

     

    Les racines du silence

     

     

    Les soleils blancs meurent sous les ciels oubliés. Quelques uns se rappellent de règles simples. Les grands hommes, les idées pour durer, les saisons comme conseillères, le val de loir au cours de douces pensées protègent des lierres aux influences éphémères et durables à la fois.

     

    Aucun cercle. Aucun maître. Aucune certitude. Une attitude à trouver le silence. Les universels sont ils encore bien partagés ?

     

    Les mots :  azimuts, perspectives, sensibilités, hommes, pluriels, sens, mains, réflexions, espaces, évolutions, vie, vies, connaissances, mots, directions se sont installés autour de la grande table ronde toute en chêne. Ils ont traversé les temps et les esprits pour faire rencontre d’essentiel. Michel se tient dans un coin et parle d’essais à qui veut l’entendre. Maeva, Philippe, Jean- Claude, Paul sont partis cette semaine sans nous dire ils où ils allaient. Les mots nous aideront à ne pas les perdre complètement.

     

    Les soleils blancs meurent et se mettent à danser autour des vérités pour aiguiser nos envies d’être. Ils affirment que le principe de la liberté d’idées et de croyances est à défendre de plus belle. Ils placent l’être humain comme valeur et préoccupation centrale et tous les instants sont alors concernés. Ils savent que des milliards de soleils veulent leur place et pouvoir chauffer les personnes, les âmes et leurs œuvres. Ils veulent encore briller et comprendre pourquoi leurs rayons sont si sublimes.

     

     

     

    Une façon de nous écrire, entre êtres humains.

     


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    L'homme a constaté qu'il existe plusieurs sortes, plusieurs formes d'êtres, distinguant ainsi le règne minéral, le règne végétal, puis animal, et enfin l'être humain.

     

     Les biologistes en considérant

    Les êtres

    que seule la nature fixe les caractéristiques d'un être et donc son appartenance à un des règnes précités, de par son organisme, comprennent qu'un être devient tel lorsqu'il tend à une unité, lorsqu'il vit pour lui et s'oppose ainsi à l'extérieur.

     

    Cela devient en effet vrai avec la matière vivante qui donc, encore une fois, tend à unifier les êtres.

     

    Et si demain l’être numérique venait s’accoster aux autres règnes ?

     

    Un être à  visage humain, à l’ADN reconstitué, vecteur de mémoire future.

     

     

     

    L’être au cœur de la pensée.

     

    Une soif de savoir à travers les siècles. Réunis autour de la table en chêne, ils parlaient à voix basse. Chaque part de vérité résonnait dans le café de flore. Aristote de sage humeur prit la parole….

     


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